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We are golden ! Publier sur Facebook Envoyer
Écrit par Enki   
Dimanche, 24 Juillet 2011 20:40
Mika, ce soir au Paléo avait accepté de remplacer Amy Winehouse il y a un mois lors de son désistement. Il lui rend hommage en lui dédiant son concert.
Et c'est un concert plein d'énergie, plein de vie, comme a son habitude, qu'il nous donne ce soir. En somme un bel hommage a quelqu'un qui a brûlé sa vie par les deux bouts. Quand la chandelle brûle plus vite, la flamme brûle plus fort.
Entouré de son armée de musiciennes, tout habillé de blanc, évoquant le libertinage, Mika reprend ses anciennes chansons, mais aussi des nouvelles. Et c'est un public très réactif qui joue avec lui, malgré la chute importante de température en ce samedi soir.
Acidulé, énergisant, Mika méritait bel et bien la grande scène du Paléo 2011. On aime ou on n'aime pas cette pop haut perchée, mais on connaît tous au moins un titre, un air, un sample de Mika. Véritable phénomène culturel : un tournant, une voie(x) jetés dans le monde de la musique.

Performance vocale et performance scénique aussi. Show à l'américaine (peut être dû à ses origines) que l'on sait contrôlé dans le moindre détail ; écrit  en vue d'une perfection totale. Bref, du grand spectacle.

Mika, c'est tout cela : c'est un monde à part, sorti d'un imaginaire survolté, qui n'est jamais en mal d'inspiration. A près tout, l'art, c'est bien cela : communiquer ce que l'on est et que l'on ne peut communiquer autrement. Transmettre à tout prix, une énergie, une émotion, un message.

Et lorsque la connexion s'établit, lorsque le lien se fait, cela nous donne un concert comme ce soir.

Enki

 

 
Une vague d'énergie... Publier sur Facebook Envoyer
Écrit par Enki   
Samedi, 23 Juillet 2011 09:15

Shaka Ponk - Paléo Festival 2011 Une vague d'énergie primale a envahi ce soir le Chapiteau au Paléo grâce à Shaka Ponk.
Du rock, du vrai, celui qui fait bouger la tête de haut en bas, qui fait oublier que l'on transpire, qui donne envie de se faire tatouer et qui fait bourdonner les oreilles.
A 18h sous le Chapiteau rien n'était gagné. Pourtant, ils ont mis le feu : avec un chanteur déjanté, une chanteuse charismatique, des musiciens de talent, un visuel original qui ne se prend pas au sérieux et toujours leur singe emblématique. Un petit duel de batterie entre le visuel et le batteur. Un jeu d'ombres chinoises en surimpression, magnifiquement orchestré. Plus qu'on concert, un spectacle, un moment unique.
Etre rock, c'est une façon d'être, une manière de vivre. Et sur des Paléo de plus en plus électro, c'est un grand bol d'air, une respiration véritable teintée de basses, de batteries, de guitares et de pogos.

Shaka Ponk - Paléo Festival 2011

Des slams aussi, à la pelle. De la testostérone. Ils finissent toujours torse nu ?? Et bien oui. Pas besoin de drogues pour tenir le choc en ce quatrième jour de festival lorsque l'on assiste à ça. Vous étiez fatigués ? Plus maintenant.
Un grand merci à Shaka Ponk.

Enki

 
Une éclaircie sur Paléo Publier sur Facebook Envoyer
Écrit par Enki   
Mercredi, 20 Juillet 2011 10:04

Zaz - Paléo Festival 2011 Zaz, c’est cette artiste montante. Mais si, c’est celle qui veut « d’l’amour, d’la joie, de la bonne humeur ». Impossible de ne pas avoir entendu au moins une fois cette voix un peu rauque et vaguement cassé si reconnaissable ; ce style mêlant influences jazz, chanson française et justesse autant dans les compositions que dans la technicité d’un melting-pot si riche.

Son sourire d’abord timide devient resplendissant dès qu’elle s’approche d’un micro. Une petite trentenaire propulsée au devant de la scène en quelques jours seulement grâce à Internet

Depuis elle écume les scènes Françaises bien sûr, Suisse comme à Paléo, et devrait bientôt réaliser l’un de ses rêves : un tour du monde. Car en effet, ses tournées l’ont emmenées déjà au Japon et prochainement aux Etats-Unis où quelques dates sont prévues.

Sur scène, c’est une vraie énergie qui explose, entourée de musiciens de talents, scattant presque ses paroles, jouant avec le public et l’espace avec la spontanéité que seul les enfants osent montrer.

Ceux qui n’aiment pas sa musique aimeront tout au moins sa fraîcheur, ce petit rayon de soleil sous la pluie de ce premier jour de Paléo 2011.

Enki

 
A reason to love them Publier sur Facebook Envoyer
Écrit par Enki   
Jeudi, 21 Juillet 2011 09:49

Concert très attendu hier soir au Paléo, celui de Portishead. Deuxième concert de la soirée sur la grande scène, faisant un instant oublier Aaron qui venait tout juste de quitter ce sanctuaire, et les Chemicals Brothers qui y débarqueraient un peu plus tard dans la soirée.
Les musiciens entrent sur scène, suivis de Beth Gibbons, la tête rentrée dans les épaules, dos au public. Puis elle s'approche, elle commence, sa voix retentit et envoûte les 40 000 personnes venus devant la grande scène braver une fois de plus la boue et le froid de ce mois de juillet.

Portishead - Paléo Festival 2011
Les morceaux s'enchainent telle une mécanique bien huilée. Pas de place à l'erreur (ou à l'impro a-t-on l'impression) pour ce groupe anglais formé en 1991. Choisissant toujours ses apparitions avec parcimonie, sa tournée européenne diffère du parcours classique des festivals de l'été : pas de Vieilles Charrues, pas de Musilac, mais Arras et Nîmes pour la France, ainsi qu'un grand détour dans les pays de l'est, et un petit saut sur la Côte Est des Etats-Unis pour finir.

Portishead alterne les anciens (Glory box, Wandering star, Mysterons, Roads...) et les nouveaux morceaux, les basses à fond faisant trembler les cages thoraciques de la foule. Au milieu de ce bouquet de décibels survient un timide et fluet "good evening" de Beth Gibbons. Malgré un jeu de scène très minimaliste, la communion avec le public est totale.

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Le Parrain - 5 Publier sur Facebook Envoyer
Écrit par Enki   
Mercredi, 20 Juillet 2011 09:58

 

Il était venu là, histoire d’un soir, quand l’histoire d’amour avec le Paléo lui est tombée dessus. Etait-il seulement prévu !? Du coup, il y revient, et de nouveau, c’est sa 5e fois.

Et il y a gravi les échelons du succès comme on gravit les scènes à Paléo : Club Tent d’abord, puis Chapiteau, enfin Grande scène. Mais il ne les oublie pas les « petites », il est parrain du Détour, la scène des révélations, celle des petites perles.

Cali - Paléo Festival 2011

Il parle du public Suisse comme « un public rock (…), un public attentif », et il l’aime le public, a s’en jeter dedans, pour le meilleur comme pour le slam.

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